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...
Faut-il qu'à toi je m'arrête,
pourpre du coquelicot,
seuil secret de ma demeure,
seuil mouvant de ma demeure ?
Si je pouvais vous franchir,
fossés profonds de l'été,
droit j'irais à ma frayeur.
Mais derrière les monts
l'innocence ... |
2013-11-29 05:18:05 |
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